Le hasard faisant qu’au début de l’été je me suis trouvé attablé dans un café parisien à moins d’un mètre d’Eva Joly j’ai pu remarquer :
- que l’accent était pire en vrai qu’à l’écran ou à l’antenne...
- qu’elle et son directeur de campagne séchaient sur l’orthographe de « présidentielle » (ils étaient en train de rédiger sa déclaration de candidature)
Beacoup d’amateurisme étudié - ce que d’aucuns pourraient trouver charmant, mais tellement caricatural car relevant de la seule bobosphère (et nullement du « peuple »...)
J’ai tenu à la saluer quand même, précisant que si je respectais la femme, je n’étais pas du tout d’accord avec ses idées. Cela eut l’air de l’interloquer - heureusement qu’une groupie qui n’en pouvait mais s’est pratiquement jetée à ses pieds pour lui serrer la main....