Oui, il y a des risques de remettre à la puissance publique la création monétaire.
Or, aujourd’hui, après avoir quasiment tout privatisé, la finance s’octroie le devoir de détruire l’économie qui n’a pas vocation à faire des profits, la chose publique.
Il est donc temps de mettre à l’abri la chose publique du dépeçage en règle propagé par l’idiologie anarcho-capitaliste.
Et il est sans doute préférable de financer correctement les partis politiques plutôt que de voir abusé la sénilité de la 1ere rombiière de France ou de voir se faire exploser quelques expats de la DCN.
Le problème est que la monnaie n’a pas à servir une finalité minarchiste ou étatiste. Le Saint-Graal est de pondre un système monétaire neutre envers la vocation publique et la vocation capitaliste. Et il est simple, prêt sans intérêts par une banque centrale aux administrations publiques, prêt à intérêts à la chose privée.