« Je soutiens Nicolas Sarkozy sur tous les plans, car nous appartenons à des partis amis ».
Franchement, avec une prestation aussi minimaliste, on avait l’impression que la chancelière le soutenait comme on soutient le pendu au bout de sa corde.
On sait bien que Merkel et la BCE ne pardonne pas à Sarkozy d’avoir creusé volontairement des déficits abyssaux.
Dans ce bas monde rien n’est gratuit. La visite de Merkel, signifie un peu plus l’asservissement de Sarkozy à l’Allemagne. Jusqu’à la fin de la campagne se sera « Deutchland übber alles ».
La « dynamique du perdant » est enclenchée irrévocablement et chaque mouvement (incessant) du candidat Sarkozy joue maintenant contre lui.
En regardant hier soir ces deux tristes acteurs qui mènent les peuples à leur perte, on avait un peu la nausée....