Ceux qui savent ce qu’est l’espéranto réagissent face à l’ignorance des journalistes qui en parlent. Mais ce genre de situation n’est pas spécifique à l’espéranto. Quiconque connaît un sujet et entend un journaliste en parler est quasi-certain d’entendre deux ou trois âneries à la minute !
On ne peut que se lamenter du manque d’humilité des journalistes devant leur ignorance et de leur avidité à faire du chiffre !
Quant à l’espéranto, il ferait certainement une très bonne langue commune pour l’Europe, mais la bêtise humaine et encore plus l’aveuglement des soi-disant élites européennes qui prétendent avoir la science infuse, fait qu’il y a plus de chance que l’Europe implose plutôt que l’espéranto devienne sa langue commune.