Côme,
NRJ et cet étrange accent qu’effectuent certains ados, en compagnie de filles notamment, le rap et ses samples, ses rythmes emphatiques et bégaiements nous rappellent avec nostalgie d’époque des disques rayés,
c’est un remède contre les angoisses métaphysiques, la conceptualisation du néant,
là on s’en rapproche, pas aussi effrayant que ce que l’on ne pouvait imaginer
Rihanna, pas toujours ma tasse de thé, d’ailleurs cela ne paraît pas être non plus sa boisson préférée.
« Cheers » est tout a fait buvable, pour lancer une soirée, disons entre minuit et 2 heures,
Il faut quand même admettre que cela crée un peu plus d’ambiance, disons un contexte plus adapté qu’une pièce de Stockhausen interprétée par Pierre Boulez,
tout est affaire de circonstances.
Que répondre à l’interpellation d’une jeune femme vous lançant à brûle pourpoint « Drink to that » ?