Bonjour,
Ne nous y trompons pas. Carla n’est pas la greluche qu’elle nous joue... bien au contraire, ses petites phrases n’ont rien d’innocent, ce sont des dagues plantées dans le dos de son « frappé » de mari.... Toute la subtilité réside dans ses propos, on la sent « obligée » de « figurer » contre son gré... comme Cecilia qui a dû « tenir jusqu’à l’élection pour respecter les convenances », elles le font, contraintes et forcées, mais n’en pensent pas moins et le disent à mots couverts....
Comprenez la dérision du « il a une belle voix » qui montre l’importance qu’elle accorde au fond des propos de NS... c’est humiliant ce genre de phrase qui sous couvert de complimenter ne fait que rabaisser celui à qui on l’adresse...
Carla nous en dit long, sur ce « type » mais aussi sur la lucidité dont elle fait preuve l’air de ne pas y toucher... C’est dire l’estime dans laquelle elle le tient... !
Du grand art dont seule la femme est dotée... !
On appelle cela la perfidie féminine, peut-être, en l’occurrence c’est de la diplomatie...