revanchards :
et toujours aussi racistes
«
Sur le chapitre de l’élection présidentielle et après l’élection de François Hollande, Bruno Gollnisch s’est dit »effaré par la réunion de la Bastille où il y avait peu de drapeaux français mais où flottaient des drapeaux algériens, africains et même turcs« . »rappel :
pas un mot de Gollnisch à l’époque : LePen écrabouillé, il n’avait pas osé moufter.