Si le Président m’avait écrit, jamais, au grand jamais, sa lettre n’aurait servi à emballer des déchets de poisson !
Encadrée qu’elle aurait été sa bafouille et à l’honneur au-dessus de la cheminée, à côté du portraits de mes aieux ! Je veux mon neveu ! A gauche, à l’extrême gauche !
C’est pas eux qui auraient fait des chichi d’être épinglés avec le Président des riches. Là où ils sont, ça leurs auraient fait de belles jambes. Le croc de boucher, par contre, pas sûr, qu’ils auraient aimé, poser avec un truc pareil. De VILLEPIN, c ’était pas son truc non plus, le croc de boucher ! On le comprend. Comme symbole, on peut mieux faire !
Mais, revenons à la missive présidentielle qui n’est jamais arrivée ! Sur mes aieux, s’il m’avait écrit, le Président, sa lettre, je l’aurais lue et relue et peut-être même que j’aurai répondu, pour le remercier de m’expliquer, à moi, insignifiante personne, comment, il compte changer, en mieux, ma vie, pleine de trous.
Des trous-trous, rien que des p’tits trous. Des petits trous, des petits trous...