Ce que ne comprendrons jamais les bourgeois de gôche, c’est que le travailleur modeste comparera toujours son salaire avec celui même d’un RMI additionné des différents avantages afférents. Et que toutes les belles paroles n’entameront pas sa raison, d’autant qu’internet aidant la réalité se dissimule de plus en plus mal.
Ils ne comprennent pas non plus que le jeune écarté du marché du travail par le salaire minimum sait très bien que ses aines se réservent ainsi le gâteau.
Bientôt plus personne ne vous écoutera.