Vous allez une fois de plus dire qu’on s’en prend encore à vous, mais ce que vous écrivez s’appelle « police de la pensée ». Comme au bon vieux temps et en des lieux que vous semblez chérir.
Vous vous déclarez contre la peine de mort, mais personnellement, je ne vous donnerais jamais une arme et la licence de vous en servir, comme au bon vieux temps et en des lieux qu’on connaît tous.