pendant l’occupation, si on avait interdit d’écrire que les juifs étaient des sous-êtres humains qu’il fallait détruire, il est fort à parier que nombreux auraient crié au scandale dénonçant une atteinte à la « liberté d’expression ».
à tous ceux ici qui confondent liberté d’expression et forfaiture, je leur dirait qu’ils sont libres de venir m’insulter en face.
moi je serai libre de leur casser la gueule. toujours au nom de leur liberté.