« Les marchés qui devaient attaquer la France dès le 7 mai au matin sont très calmes. »
Et pourquoi ? Parce que les marchés savent bien que RIEN ne va changer : le nouveau président ne remet absolument pas en cause la place de la France au sein de l’Union Européenne et son appartenance à la « zone euro », il est même pour aller plus loin avec les euros-obligations (ou comment courir vers le fédéralisme), ni sa réintégration au sein de l’OTAN (les troupes françaises devaient quitter l’Afghanistan... oui, mais non... en fait, pas toutes...), il vient de demander le renvoi de l’ambassadrice de Syrie après un coup de fil, nous dit-on à James Cameron (en langage non diplomatique, je dirais : un coup de fil des USA/OTAN).
Et on en ait encore à disserter, à polémiquer, à se diviser sur les qualités ou les défauts de la droite et de la gauche ! Les uns ont perdu... Les autres ont gagné ! Pathétique infantilisme...
Cessez de croire à ces professionnels de la politiques, à ces sophistes avides de pouvoir.
Je vomis ce régime représentatif antidémocratique qui nous maintient dans nos chaînes et nos illusions.