Le langage des Roehn - commissaires, dénomination parfaites de ces flics en chasse permanente à la citoyenneté - ressemble à s’y méprendre à celui de l’entreprise. Une langue qui voudrait décrire un monde mort qui ne parle que de choses existant uniquement dans leurs cervelles de vampires asociaux et criminels. Un jour viendra où on leur jettera des bananes, à l’Expo Universelle.