C’est tellement illogique que j’ai eu envie d’aller plus loin... En suivant l’article, on en viendrait à la conclusion que si un président français socialiste acceptait d’avoir des rencontres officielles avec un Bush ou un Reagan dans ou hors le cadre de ses fonctions officielles, il serait nécessairement un utralibéral mondialisé présumé fascisant. Que peuvent bien faire dans le vie des gens qui on ce type de pensée. Ee cherchant un peu, on découvre que l’auteur à émargé pour l’essentiel à de l’argent public, avec pour vocation, à un haut niveau, d’aider à la lutte contrel’exclusion et la pauvreté.... ! On s’étonne moins que les nouvelle pauvretés soient apparues en gros en 1981 et que depuis 30 ans, l’accumulation de postes et de subvention pour ceux qui « vivent des pauvres » ait conduit à l’aggravation tous azimuts de la situation de ces derniers. On préssent aussi pourquoi, il faut, il est nécessaire, il est indispensable, que l’origine des problèmes soient ailleurs. Par exemple chez Sarkozy. Ces exploiteurs de la misère du peuple veulent plus d’argent et de crédit, pour eux. Ils ne voudraient pas qu’ on leur demande des comptes à eux. Comment avec tous ce fric et tous ce temps êtes vous parvenus à accroitre l’exclusion ?
Heureusement, il y a Sarkozy.
Cependant, on il est difficile d’oublier que les forces vives de tous les fascisme ont toujours été des gens des classes moyennes létrrées, largement fonctionnarisées, mise hors d’elle même par la diminution des fonds publics dont elles bénéficiaient. En cette pèriode de disette budgétaire. (les gens comme l’auteur on largement contribué à vider les caisses sans résultats) on ne peut s’empecher d’être iinquiet du déploiement de ces discours irrationnels et stigmatisant autant qu’antidémocratiques. L’irrationnel présenté sous couleur de science. Cela, oui, c’est un marqueur des fascismes. Ne nous y trompons pas, derrière l’absurdité de ce texte, c’est bien, pour le coup, une vraie menace fasciste qui pointe.