Salut, Paul.
Merci pour cette évocation de ce géant de la peinture qu’a été Vermeer. Un peintre dont les toiles valent des fortunes et ce n’est pas un hasard s’il a fait l’objet de nombreux faux. Parmi eux, ceux du plus célèbre des faussaires néerlandais auquel j’ai consacré un article en octobre 2011 : Quand Van Meegeren peignait des Veermer.
Le choix de Buxtehude, précurseur du génial Bach et parfait contemporain de Veermer, est en effet judicieux car il fallait un maître musicien de cette qualité pour rendre justice à la peinture du Hollandais.
Bonne journée.