L’auteur écrit : « Les fameuses amazones de sa garde personnelle, toutes violées elles aussi, toutes esclaves sexuelles également. »
Je n’aimerais pas confier ma vie à une cohorte d’amazones qui auraient de bonnes raisons de m’assassiner ! La garde personnelle ne peut se composer que de personnes en qui on a toute confiance. Je ne comprends donc pas cette contradiction.