Philap,
Il a menti, il a menti...oui et non.
Freud essuie les plâtres d’une époque où l’on vit la tête dans le sac.
L’Autriche, j’allais dire l’autruche, des dentelles et des valses de Vienne ne vide pas ses poubelles.
Il fut l’éboueur courageux d’une époque poudrée, artificielle et superficielle.
Comme tout homme et chercheur qu’il était il ne manqua point de subjectivité,
certains subirent, comme C.G. jung, sa tyrannie.
Quand on travaille depuis des décennies dans une collaboration sans parole
avec tous ces personnages, on essaye de contourner les obstacles de leurs failles
en tentant de sauvegarder notre intégrité en nous gardant de les idéaliser.
Les valeurs temporelles sont des théories de mode,
mais la part intemporelle de Freud nous dévoile des mécanismes intéressants.
Voyez vous, j’apprécie beaucoup Tobie Nathan, l’oriental.
Fondateur de la
Nouvelle Revue d’ethnopsychiatrie
, est aussi le « sorcier des banlieues » promu par la presse grand
public, qui fascine les uns et horripile les autres. Ceux qui l’aiment
bien disent :
« C’est un provocateur ».
Les autres réagissent comme le taureau devant le chiffon rouge.
Son imaginaire prolifique me ramène à Jung en plus jeune.
Ici, je trouve que Freud est un peu largué.
Seulement, sans le précurseur, il n’y aurait peut être pas cette créativité explosive.
Vous parlez d’Onfray, il est brillant mais ce n’est qu’une étoile dans la voie lactée.
En attendant mon cher, la sexualité, c’est un vaste problème.
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