Chalot
De toute façon, les peuples européens disent oui un jour, non le lendemain.
Les peuples sont le reflet de ceux qui semblent prendre des initiatives.
Dans ce fatras, je me demande si nous ne sommes pas tous descendants des celtes,
connus, chez nous sous le nom de Normands...
« Peut être bien que oui, peut être bien que non. »
Vous me rappelez quelqu’un qui habitait près de chez moi, avec un R en plus.
(c’est encore pour détendre)
Pour répondre à votre article, je crois que l’ambivalence qui s’empare des peuples,
traduit une panique généralisée qui ne permet plus la réflexion.
Pour réfléchir il faut s’en donner les moyens et pour ce faire, révolutionner peut être la démocratie...mais le changement, c’est à la saint glinglin.
qui me semble mal vieillir.
Si je tente d’en rire, c’est que ça me rend bien triste, c’est un réflexe de survie.