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Le livre papier c’est mieux. Mais le livre numérique c’est bien.
La fringale d’élimination de ceux qui ont intérêt à neutraliser le livre électronique,
et la possibilité ainsi offerte d’étendre l’extension du domaine de la lecture,
n’est que la volonté de l’édition de garder un monopole.
On se demande pourquoi Chalot, grand défenseur de ce qu’il défend habituellement,
se met tout à coup à défendre le monopole de l’édition ?
Bon dieu mais c’est bien sûr, les « ouvriers du livre » sont là derrière, qui veillent à leur grain,
en nous faisant le coup de la bonne odeur du livre mieux que les madeleines de Proust.
Le texte et les mots qu’il charrie se fiche pas mal du support : ce qui compte, c’est le contenu.