Pour moi, que les « supposées oeuvres d’art » soient enfermées dans une collection privée Française ou étrangère, m’indiffère.
La seule réserve est que si c’est sur le territoire national, l’Etat, pour une merveille, peut préempter.
Vu la crise, il n’en a pas les moyens, alors, exportons et prenons les devises des Emirs, grands capitalistes ou autre nababs.
La fiscalisation est, ainsi, une incitation à vendre et à faire tourner ces oeuvres d’art.