« Car le quantitatif ne remplace pas le qualitatif, au contraire, il le noie, fait passer l’intervenant pour un emmerdeur et finit par décrédibiliser ses idées... » Ludovic Charpentier.
Oui, un seul mot suffit à produire un trouble mental. Pour produire ce trouble, encore faut-il que naisse chez l’auteur (d’un article, d’un commentaire, d’un livre, d’une citation etc...) une personnalité. Ou plusieurs... La pluspart des gens n’en ont aucune.
Pour cela, il faut un isolement temporaire, qui oblige à se défendre et à « porter les armes », à s’emmurer en quelque sorte, une plus grande capacité de se retrancher ; et surtout une impressionnabilité beaucoup moins grande que celle de l’homme du commun dont l’humanité est contagieuse.
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