Sur le fond
M’enfin, vous comprenez qu’on puisse avoir envie de choisir son geôlier quand même ? Si le prolétaire comme vous dites préfère sa prison d’entreprise à celle du transport en commun, hein ? Au moins, il est dédommagé chaque mois, alors que les grévistes, qu’est-ce qu’ils lui donnent au prolétaire à la fin de la grève, vous y avez pensé à ça ?
Sur la forme
Ce fut un bonheur de vous lire, vous maniez bien la langue, et bravo pour votre humour rafraîchissant :... "Dans les années quarante, des gens, rétifs à l’amitié
franco-allemande, étaient sélectionnés comme otages
(à Drancy, par exemple) puis profitaient de voyages gratuits dans des trains
qui partaient en Europe Centrale ".
A bientôt donc lors de votre prochain article.