« Dans la première catégorie on trouve en toute première ligne l’Allemagne, dont la politique de bas salaires menée depuis une dizaine d’années peut s’assimiler à une » dévaluation interne « (de l’ordre de 20 %). Ce sont alors les salariés qui font les frais du regain de compétitivité. »
Puisqu’il est impossible de négocier avec l’Allemagne, je propose notre propre dévaluation interne : demandons à la banque de France d’imprimer en euros 20% de la masse monétaire en circulation en France afin de réduire notre déficit public ou toute autre fin utile.