Le modèle du capitalisme mondial se répartit entre une économie industrielle et exportatrice, comme en Allemagne, en Chine ou en Inde, et une économie de rentier par la spéculation (la hausse des prix) et la vente de produits fabriqués à l’étranger, comme aux Etats-Unis, en France ou en Angleterre.

C’est par l’industrie que les pays ont augmentés leurs richesses nationales avec un circuit de consommation distribué vers les populations. Les revenus des citoyens leurs ont permis d’avoir un pouvoir d’achat pour faire face aux besoins de la vie courante, ce qui a créé une hausse du niveau de vie.

L’emprise de la finance sur l’économie, qui est très loin des réalités sociales, a abouti à une délocalisation massive de pans entier des industries et des services, dans le but d’enrichir les profits de la finance. Il n’y aucune vision de société, ses gains financiers sortent du circuit de consommation pour ne bénéficier qu’à la rente.

La finance développe le capitalisme rentier avec une hausse des prix sans baisse acceptable moralement des prix par la spéculation et mets de forte pression au travail sur les citoyens pour vendre. Maximiser ses profits dans l’économie industrielle et l’économie de rentier.

Les nouveaux pays industriels comme la Chine ou l’Inde par leurs salaires de misère ne peuvent pas créer de circuit de consommation. Les pays qui ont vus le capitalisme rentier s’installer sont confrontés à une baisse ou stagnation des salaires avec une hausse des prix généralisée, ce qui mets en danger le circuit de consommation.

Les capitalistes captent les gains financiers à la fois du capitalisme industriel et du capitalisme par la rente, par un circuit de sur-profits à but de hausse constante, sans projet de société, de cohésion sociale, de circuit de consommation et de revenus pour créer une hausse du niveau de vie au lieu de l’appauvrissement grandissant des populations de plus en plus précaire.