@l’auteur : vous avez raison de souligner l’hypocrisie des syndicats : ceux-ci ont ete bien inaudibles tandis que les prix augmentaient et qu’EDF restait publique.
Rq1 : c 15% du capital d’EDF qui est mis en bourse, pas 30%.
Rq2 : apres la fusion, l’Etat gardera une golden share de 36%, de quoi s’opposer mais pas imposer une politique, c’est donc bien une privatisation.
Rq3 : il se passera ce qui s’est passe avec FT : privatisation et desengagement progessif de l’Etat. il est deplorable qu’aucun gouvernement n’aie le courage d’affronter les roquets syndicaux mais c’est un bien pour un mal. Les syndicats idologues vont continuer a aboyer, perdre leur base, et la caravane des privatisations va continuer a avancer.