Je dirais plutôt : les meilleurs, les moyens et les faibles, les meilleurs n’étant pas forcément bons (p. ex. meilleurs d’entre les faibles) et pouvant se révéler moyens et même faibles (taux élevés d’échec aux prestigieux concours pour lesquels on avait sélectionné les candidatures en classes préparatoires). « Meilleur » introduit une relativité à laquelle on ne pense jamais assez, au moins pour prévenir beaucoup de désenchantements.