Bel unanimisme... Pourtant j’ai un doute : les textes et les commentaires, si j’y applique une analyse forcément maniaque et réductrice -ô le prudent Raminagrobis !...-, parlent davantage de « génitalité » (et, qui plus est, masculine !) que de « sexualité ». Pour mémoire, « génitalité » est affaire de viande d’organe, d’odeur, d’ « images » arrêtées, « sexualité » de discours, d’histoire, de virevoltes sémantiques... de LIENS mouvants, labiles, liquides. Les deux sont jubilatoires mais... différents. Qu’en disent les damoiselles et dames du temps présent ?