Où l’on voit que ces gens manquent furieusement de suite dans les idées : avant la présidentielle, pour les frontistes il n’y avait ni droite ni gauche mais l’UMPS.
Aujourd’hui que le PS est au pouvoir, fini l’amalgame : feu à volonté sur la gauche !
Pfff ! Les indignations à géométries variables sont indignes.