« Ecrire pour ne rien dire de la manière dont cet écrit est arrivé jusqu’ici, alors en effet ce serait écrire pour ne rien dire. Ecrire tout de même pour vous dire que je suis en train d’apprendre à décrire le chemin de la gare en oubliant de l’être, mais pas encore à quai pour le dernier train.
Encore quelques mots à graver sur le banc et je reprends la marche, grâce à tous les écrivains, femme, enfant et adulte, ou grand-enfant et femme-enfant où l’adulte erre sous les yeux de nos grands-parents, sur le regard apporté sous la main de l’enfant. L’autre main femme qu’est l’avis en tout homme, en vous en moi et l’œillet derrière qui est aussi l’écran, le votre le mien soit, mais l’enfant qu’en sera-t-il de sa vie et de l’humanité, ...
Je ne suis à dos ni adulte, je cherche une question ? Grandir est-se livrer ?
Je laisserai la craie sur le banc, après deux où trois blancs colorés et des feuillets à délivrer d’un mauve essor, puis s’en suit que j’irais m’assoir à ma table d’écolière, pour écrire ne rien dire, ne dire rien pour écrire, rien pour ne dire écrire.
Merci cevennevive, pour vos mots qui n’étaient pas fais pour ne pas ne pas faire écrire pour ne rien dire. »