Lucille, (avec trois L)
Plus je vous lis, plus je me demande en quelle langue vous parlez... Et plus je suis perplexe à la lecture des commentaires positifs que vous récoltez...
Je ne comprends rien à votre jargon. J’abandonne. Car, comme je ne dispose pas de dictionnaire pour la conversion en français de votre prose, il me faut désormais renoncer à vous lire.
Mais, peut-être, cette lacune provient-elle de mon trop grand respect pour la langue française, avec ses bizarreries grammaticales, et ses exigences de bon aloi.
Car, lorsque vous écrivez : « c’est ça d’écrire... » mon réflexe premier est de raturer au stylo rouge
avec la mention « impropre »...
Adieu donc, mademoiselle trois L, je vous fuirai désormais, car mon amour propre pleure devant mon incapacité à vous comprendre, qui ne vient peut-être que de mon inculture.