Je n’aurais dis mieux Capitaine.
Cevennevive votre commentaire m’est précieux,
je vous donne raison, si vous ne me comprenez pas je dois
faire un effort, car il serait regrettable de ne pas tenter de braver un
problème de communication. En ce sens je vais m’appliquer à user de mots dont
je ne doute que vous les saisissiez :
« Et,
personnellement, je garde une pensée affectueuse pour Joe Di Maggio qui fut, je
crois, le seul à l’avoir aimée vraiment (mais si mal...), et un épouvantable
ressentiment envers ceux qui l’ont méprisée, prise pour un objet sexuel, ou
pour faire-valoir dans tous les sens du terme. »
« Et pour moi,
elle a toujours ce visage de petite fille triste et gaie en même temps, aux
yeux pleins d’espoir. »
Je ne vous citerais pas Sénèque et sa trilogie de l’espoir,
mais j’espère par cela honorer votre départ des mes pages et vous offrir un
brin de détente :
Et pourquoi un mot bête, un mot sans queue ni tête ? Un
mot qui n’embête, un mot qui ne rend bête, un mot épithète, un mot analphabète ou
un mot oubliette. Pourquoi pas ce mot bête, quand les mots fêtes ne fêtent
plus, qu’ils ne sont que des faits. Pourquoi pas, puisque tempête de mots
quêtes ou pirouettes de mots bêtes poursuivent la même enquête, le mystère de
la zézette, ou dans des mots plus sveltes l’art des jeux de couette. Alors je
vous fais ce mot bien bête, ce petit mot chouette comme un mouchoir, comme pour
conter fleurette presqu’en direct, à votre au revoir à mon côté jeunette. Un
mot en tête pour qu’il s’arrête mon jeu bête, car je m’inquiète que
mes mots me prêtent des peurs abstraites. Peut-être un peu trop prêtres pas très
corrects, pas encore prête alors pourquoi vous soumettre à mes affects ? Par ce mot bête plein
de violettes je m’entête de façon nette, car moi pauvre poète aux troubles malhonnêtes,
je sais que notre entête n’est pas une amourette.
Car les « sages »,
les « maîtres à penser », les philosophes sont rarement rigolos, et
surtout pas coquins »...
Bonne journée. »
Votre article Pou…pou…pi…dou, whaou cela
m’avait touché, vous faites partie de ceux qui s’aiment…
« Ecrire pour dire je t’aime à celle qu’on aime, à ceux
qui sèment les mots d’amour, ici ou là et au-delà, à l’eau de la rose aux roses
douces. »
…de mon côté je décroche les ailes, je ralenti, je m’assoie
et apprendrai par la plume à mieux la manier.
Et mille milli arts de mille savoures
au beau milieu du bazar des bons mots.
Lucille.