Précision : « le père Jimmy Tumbelaka, accompagnateur spirituel des trois catholiques exécutés confie sa douleur d’avoir été empêché par le procureur de donner les derniers sacrements aux condamnés et de célébrer une eucharistie avec eux ». Lire la suite ici.
Ainsi donc, ces musulmans qui exigent de pouvoir vivre leur religion en Occident, voir même d’y imposer la charia, ont non seulement assassiné trois innocents dont le seul crime était d’être chrétiens, mais en plus il leur ont refusé de recevoir le sacrement de réconciliation. Il s’agit donc d’un double crime (contre le corps et contre l’esprit), digne d’une grande religion de paix, de tolérance et d’amour.