L’auteur de l’article aurait du consacrer plus d’énergie à tenter de comprendre le véritable propos d’Etienne Chouard qu’à tenter de produire un brillant discours en forme de critique fondée sur une approche post-métaphysique de l’éthique procédurale néokantienne.
Car ce qui est critiqué, ce ne sont pas les propositions d’Etienne Chouard, mais ce que l’auteur imagine ou prétend être les propositions d’Etienne Chouard. Ainsi, qui donc gesticule ostensiblement contre un géant imaginaire, dans son armure syntaxique de chevalier philosophique, sinon l’auteur ?