Pourquoi ne dirait-on pas, crûment mais sans la moindre hypocrisie - je ne m’explique pas les pudeurs de certains -, que du Darfour d’aujourd’hui, comme du Rwanda d’hier, on s’en fout !
Que les gens qui y habitent ne sont pas de notre planète et qu’il peuvent bien faire ce qui leur chante.
Qu’ils font partie de ces Africains qui ont opté pour l’indépendance et que, par conséquent, ils doivent se démerder indépendamment de nous autres.