Bonjour, Franck.
« lire suppose désormais une concentration et une absence d’interaction qui ne sont plus dans l’air du temps ».
La plus grande difficulté réside en effet dans ce constat. Et ce qui vaut pour les livres vaut également pour la presse traditionnelle.
Faut-il s’en désoler ? Sans doute. Mais l’évolution des techniques et celle, corrélative, des usages est irréversible.