Dans une tribune du Figaro du 16 octobre 2006, un partisan de cette loi, Armen Seropyan, Représentant de la nouvelle Génération arménienne, écrit :
[...]
La liberté d’expression est un droit fondamental qui n’est pas menacé par cette action. En effet, celle-ci doit être encadrée, car des conclusions négationnistes instillées dans l’esprit d’une opinion mal informée ne peuvent qu’attiser la haine entre les peuples. Ce texte prévoyant la pénalisation du négationnisme du génocide des Arméniens sera le rempart de la justice et de la vérité contre le déni et le mensonge.[...]
Avec de tels arguments qui relèvent plus de l’affirmation dogmatique que du raisonnement historique, la discussion est donc close.
Il ne reste plus qu’à imprimer LE livre d’histoire qui nous dispensera la vérité absolue sur tous les sujets.