@ l’auteur
Bravo pour cet article courageux qui ne fait que décrire la situation qui a longtemps prévalu en Mauritanie, au Mali et dans l’ex-Sahara espagnol. Les émirs « Maures » et les chefs de zaouïas (centres religieux) étant de purs esclavagistes. Les rezzou sur les berges du Sénégal étaient fréquents. Ils ont été enrayées par Faidherbe, Coppolani et les principaux gouverneurs de l’Afrique de l’Ouest.
Aujour’hui encore, certaines familes puissantes possèdent des esclaves. Mais les O. N. G. bien pensantes préfèrent fermer les yeux. Question de real politique. C’est plus facile de dénoncer ceux qui vivent dans des cartons sur les berges de la Seine...
Je retiens des commentaires qui ont suivi votre article bien documenté, que nombre d’intervenants se sont précipités pour dire que c’était la faute des gouvernements. Toujours ce même principe de dédouanement de populations qui font tout pour rester accrochées à leurs privilèges. Comme quoi, il existe encore des porteurs de valises pour les esclavagistes qu’on ne peut dénoncer au prétexte qu’ils sont musulmans et s’affichent comme tels... A croire qu’être musulman dédouane des pires turpidudes...
Bien à vous et encore bravo. Patrick Adam