Depuis qqes années, le Japon a essayé de faire preuve d’indépendance vis à vis des US et recouvrer sa souveraineté perdue en 45 (Episode Kan Pr Ministre bien vite mis en pièce).
Les réacteurs japonais en rideau, c’est l’explosion des importations de pétrole. Le pétrole c’est les pétrodollars, les pétrodollars, c’est le dollar.
Depuis, le Japon s’est lancé dans un QE illimité, soit son suicide économique organisé par le véreux Abe qui a truqué les élections, procès en cours. Loi martiale de retour au Japon.
Comme je l’avais dit dans mon papier sur Fuku, la gestion d’une catastrophe nucléaire ne peut-être que totalitaire. Le nuke c’est aussi la mort de toute démocratie, même apparente.
Ayons tous ça en tête : le dollar ne tient en tant que monnaie de réserve qu’à cause des réserves de change pour acheter du pétrole.
Le Japon soutenait les palestiniens, et se proposait d’enrichir le fuel nucléaire iranien.
La sécurité de Fuku était assurée depuis 6 mois avant la catastrophe par la société israélienne BSP Magna, basée à Dimona :
http://www.haaretz.com/print-edition/news/israeli-firm-which-secured-japan-nuclear-plant-says-workers-there-putting-their-lives-on-the-line-1.349897
http://www.jpost.com/Defense/Israeli-firms-cameras-recording-Japanese-nuclear-core
La société a démenti avoir un accès au SI de la centrale depuis Israël. Ils avaient installé des caméras géantes de 500kg à côté des réacteurs.
Le virus Stuxnet a fermé les vannes du circuit primaire des réacteurs juste après le maigre séisme de F6,7. Un F9 aurait tout rasé, mais à Sendai, pas un bâtiment n’a souffert. Quelques ingénieurs de Fuku ont parlé : toutes leurs données en salles de contrôle étaient OK pendant que les réacteurs fondaient.
Le R4 n’aurait pas du et pas pu exploser, il était vide. C’est le bâtiment 7 du 11/09 version japonaise.
Les ingénieurs US aujourd’hui disent que le R3 a explosé, et que cette explosion était nucléaire. Il n’y a plus de R3, il est dans l’atmosphère, ce qui explique la mort programmée du Pacifique tant les rejets de plutonium/Mox/Areva ont été importants. Les russes disent 500 fois plus que ce qu’ils avaient estimé au départ.
Le R3, chargé au MOX a pété plus fort que les autres. On passe d’une fusion à 2200°C avec l’uranium à 800°C avec le MOX, ce qui réduit considérablement les temps de réaction en cas de pépin. 25 réacteurs en France sont chargés avec un combustible dont les qualités n’ont pas été prises en compte à la construction. C’est LE SCANDALE dans le SCANDALE.
Les réacteurs PWR chargés au MOX en France, c’est les mobylettes de notre enfance tournant à l’ether !
Il y a un faisceau de présomptions très réelles et sérieuses pour que cela soit bien un attentat.