A l’été 2013, il y a eu concertation-réunion à Bruxelles entre les représentants russes et nord-américains sur le désarmement. Cette réunion a manqué ses objectifs.
Le résultat de cet échec nous a mené à la crise Ukrainienne.
Obama avait déjà mis un revolver sur la tempe de Putine avec le déploiement de la défense anti-missile de l’Otan disposé aux frontières russes. Putine ne pouvait accepter un dialogue dans ses conditions. C’est assez logique.
Il y a une recrudescence du fascisme néo-nazi dans toute l’Europe et surtout dans les pays nouvellement joints au projet européen. C’est le malaise identitaire. Celui-ci apparait dans les situations de crise. La mondialisation ne fait qu’accélérer le problème, car c’en est un. Comment l’expliquer ?
En effet, l’anti-fascisme est un moyen commode de disqualifier tout adversaire sans argumenter. C’est le fameux ’reductio ad hitlerium’. C’est commode, cela permet d’évacuer toute forme de réflexion. C’est radical , cela permet de peindre le monde en blanc et noir.
L’incroyable se produit :
L’Europe compose avec des révolutionnaire fascistes ukrainiens qui avaient , semble-t-il bien été chauffés à blanc auparavant.