La violence je ne pense pas l’avoir lue du côté des commentaires des anticorrida mais plutôt du côté des pro...« Celui de tes fesse, O Sz, aux formules aussi creuses que lapidaires ? » que je viens de lire par exemple. Et les anticorrida je les ai trouvés très dignes sur cette page face à l’agressivité des pro !
Car la violence, elle est du côté des arènes et le reste n’est que littérature pour tenter de nous faire culpabiliser.
L’afeitado des taureaux des corridas portugaises où le sang coule à jet de fontaine et qu’on arrête l’hémorragie en introduisant une cheville de bois dans la plaie. La violence de la pique qui malgré le traitement antibiotique empêchera le taureau gracié de vivre, la violence des hommes qui laissent agoniser à leur retour au toril ces mêmes taureaux de corridas portugaises le corps criblé d’armes blanches au lieu de les abattre comme il se doit.
Si vous en voulez encore lisez mon dernier livre, je l’ai écrit pour ça et toutes mes affirmations sont sous-tendues par des documents officiels.