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En réponse à :


njama njama 17 avril 2014 17:42

@ Dépositaire
une conception tout a fait fantaisiste de la médecine.
c’est le principe même de l’inoculation qui est fantaisiste, et, en fait, historiquement tout démarre d’une pratique de rebouteux (sic) ... 

Le principe est encore aujourd’hui exactement le même, à la différence près qu’on essaie depuis Pasteur de le justifier par des données scientifiques, aujourd’hui invérifiables que l’on nous demande d’admettre car les fabrications sont protégées par des brevets.

Pasteur n’est pas l’inventeur du vaccin, ce n’est un secret pour personne, il a eu des prédécesseurs, et on en attribue usuellement la paternité à Jenner :
80 ans avant Pasteur, le 14 mai 1796, Édouard Jenner découvre la vaccination ici
Or Jenner n’en est pas l’inventeur, 75 ans avant lui ...

GENÈSE AFRICAINE DE LA VACCINATION

(Do you remenber ? ... The Boston Marathon Finish Line was at « 666 Boylston Street, Boston, Massachusetts, États-Unis », et au 666 il y a le bâtiment « Boston public library » qui longe la ligne d’arrivée.)

Zabdiel Boylston (1679-1766) was a physician in the Boston area.

During a smallpox outbreak in 1721 in Boston, he inoculated about 248 people[4] by applying pus from a smallpox sore to a small wound on the subjects, a method said to have been previously used in Africa. Initially, he used the method on two slaves and his own son, who was 13 at the time. This was the first introduction of inoculations to the United States. An African slave named Onesimus taught the idea to Cotton Mather, the influential New England Puritan minister.

His method was initially met by hostility and outright violence from other physicians, and many threats were made on his life, with some even threatening to hang him on the nearest tree. He was forced to hide in a private place of his house for 14 days, a secret known only by his wife. During this hostility, his family was also in a dangerous situation. His wife and children were sitting in their home and a lighted hand-grenade was thrown into the room, but the fuse fell off before an explosion could take place. Even after the violence had subsided, he visited his patients only at midnight and while disguised.[5] After his initial inoculations of his son and two slaves, he was arrested for a short period of time for it (he was later released with the promise not to inoculate without government permission). In 1724, Boylston traveled to London, where he published his results as Historical Account of the Small-Pox Inoculated in New England, and became a fellow of the Royal Society two years later. Afterward, he returned to Boston.

Traduction Google :
(désolé c’est pas terrible, mais bon ... pour donner une idée à ceux qui ne sont pas très à l’aise avec l’anglais)

Lors d’une variole épidémie en 1721 à Boston , il a inoculé environ 248 personnes [4] en appliquant pus d’une variole mal pour une petite plaie sur les sujets, une méthode auraient déjà été utilisée en Afrique. Initialement, il a utilisé la méthode sur deux esclaves et son propre fils, qui avait 13 ans à l’époque. Il s’agissait de la première introduction de vaccins au États-Unis . Un esclave africain nommé Onésime a enseigné l’idée à Cotton Mather , l’influent ministre puritain de la Nouvelle-Angleterre.

Sa méthode a initialement rencontré de l’hostilité et de la violence pure et simple d’autres médecins, et de nombreuses menaces ont été faites sur sa vie, certains allant même jusqu’à menacer de l’accrocher sur l’arbre le plus proche. Il a été forcé de se cacher dans un lieu privé de sa maison pendant 14 jours, un secret connu seulement par son épouse. Au cours de cette hostilité, sa famille était également dans une situation dangereuse. Sa femme et ses enfants étaient assis dans leur maison et une grenade allumée a été jeté dans la salle, mais la mèche s’éteignit avant que l’explosion puisse avoir lieu. Même après que la violence ait diminué, il rendait visite à ses patients qu’à minuit et en étant déguisé. [5] Après ses inoculations initiales de son fils et de deux esclaves, il a été arrêté pour une courte période de temps pour elle (il a été libéré avec l’ promettre de ne pas inoculer sans l’autorisation du gouvernement). En 1724, Boylston s’est rendu à Londres , où il a publié ses résultats sous forme de récit historique de la petite vérole inoculée dans la Nouvelle-Angleterre, et est devenu un membre de la Société royale deux ans plus tard. Par la suite, il est retourné à Boston.

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« An African slave named Onesimus taught the idea to Cotton Mather ... » (cité ci-dessus voir Zabdiel Boyston)

Onesimus (fl. 1706 - 1717), slave and medical pioneer ...

Little is known of Onesimus after he purchased his freedom, but in 1721 Cotton Mather used information he had learned five years earlier from his former slave to combat a devastating smallpox epidemic that was then sweeping Boston. In a 1716 letter to the Royal Society of London, Mather proposed “ye Method of Inoculation” as the best means of curing smallpox and noted that he had learned of this process from “my Negro-Man Onesimus, who is a pretty Intelligent Fellow” (Winslow, 33).

Onesimus explained that he had undergone an Operation, which had given him something of ye Small-Pox, and would forever preserve him from it, adding, That it was often used among [Africans] and whoever had ye Courage to use it, was forever free from ye Fear of the Contagion. He described ye Operation to me, and showed me in his Arm ye Scar.” (Winslow, 33)

(dsl, concernant cette citation, le lien que j’avais publié en commentaire dans cet article Par njama (---.---.100.244) 26 juin 2013 16:13 est mort ! )

Louis Pasteur n’est l’inventeur de rien, un siècle et demi avant lui ces pratiques douteuses existaient déjà
. Il ne s’inscrit que dans la continuité de ses prédécesseurs


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