Quand allons nous arrêter de parler de jeunes en difficultés et utliser un vocabulaire adapté, c’est à dire les dangereux délinquants commettant des actes non citoyens non justifiées.
Et surtout, je ne supporte plus d’entendre parler du mal être des jeunes en banlieue. S’ils ne sont pas capable de se prendre en charge, c’est de leurs fautes. Il faut mettre l’accent sur les devoirs des citoyens et non sur les droits.
Le Mal être ne justifie pas les actes de vandalismes ( bruler des voitures par exemple ), qu’on arrête de dire qu’il faut les aider, il faut leurs donner des emplois, faut qu’ils fassent du sport.
Le respect du bien public est capital. Une vigilance de tout le monde sur ce point est importante, sinon la dérive n’aura pas de limites.