Au point 2, qui rappelle les subductions, j’ai omis d’ajouter les charriages, qui déposent sur des croûtes continentales déjà formées, des milliers de kilomètres de sédiments marins. Voir les flyschs du talus continental de la Thétys, qui ont été charriés jusqu’aux préalpes du Chablais, rive Sud du Léman. Au moins trois mille kilomètres de charriage sur une couche d’évaporites du Trias, sans résistance mécanique au cisaillement.
C’est bien une exportation nette hors du milieu benthique marin.