« Ce fut ensuite le directeur de la sécurité publique, à qui Raphaëlle avait demandé un entretien, qui l’a accusée d’avoir « produit des faux témoignages qu’elle n’avait pas pris soin de vérifier... auprès de la police » (sic). « Notre collaboration va s’arrêter là », lui a-t-il signifié. »
Mais de quoi se plaint-elle ?
Enfin, elle va retrouver son indépendance !
C’est pas ça le vrai journalisme ?