Je compris l’état d’esprit du rédacteur de ce papier, mais comment s’étonner que les relations entre policiers (et magistrats) et cette journaliste se tendent lorsque celle-ci décide d’écrire un article considéré comme un crachat de la part des institutions, chargées, je le rappelle, de maintenir une certaine idée de la démocratie sur l’ensemble du territoire national ?