Merci de ce petit
condensé intéressant sur un sujet qui soit passionne soit dérange.
La complexité de la vie est immense et notre niveau de connaissance
si fragile qu’il ne permet pas à ce jour, pour une grande majorité,
d’aborder la mort et son après de manière ouverte et sereine. Quel
gâchis et quelle inutilité cela serait si le vide et le néant,
offert à des êtres capable d’amour et doués de raison, était leur
seule et unique alternative. Il est vrai que, devant l’inconnu,
l’homme vivant dans la peur ne peut pas envisager une quelconque
continuité dans un ailleurs qu’il ne peut imaginer, sous une forme
qui lui est inconcevable, dans un but qui, totalement, lui échappe.