Quel rapport y a-t-il entre le bien être et les chiffres économiques, agrémentés de beaux graphes colorés ?
Une analyse ne peut s’appuyer que sur un savoir consensuel trivial, il n’y a dans cette approche ni vision, ni perspective novatrice.
L’avenir n’est plus dans les mégas entreprises mais dans des structures à taille humaine, accessibles à l’entendement. Pour éviter d’épuiser notre planète, avec plus de 7 milliards de représentants, la société humaine doit gérer des besoins locaux réels et non générer des envies consuméristes débiles, mondialement organisées.
Nous devons aller vers une société basée sur le partage, l’entraide et la coopération ou disparaître probablement dans la violence, sinon par épuisement, anéantis par nos tares.
La science, la technologie devraient permettre une telle mutation, avec notamment l’informatique, la robotique et les toutes nouvelles machines à produire faisant appel à l’impression 3D mais encore faut-il que les consciences suivent et que la raison triomphe des puissances dirigeant actuellement le monde.