Bonjour,
L’énoncé n’est pas suffisamment formulé.
Il y a destruction de la valeur d’une monnaie lorsqu’il y a dilution de celle-ci, c’est à dire création de monnaie à partir de rien, ou comme il est dit actuellement « Quantitative easing ». En ce cas, comme au Mexique en 1976, chaque citoyen s’appauvrit d’autant car l’ensemble des prix intérieurs sont réajustés.
C’est pourtant la meilleur fiscalité qui puisse exister à l’exclusion de toute autre. Car une fiscalité sans contrôle c’est le favoritisme des tricheurs.
Dans le cas d’une dévaluation par rapport aux monnaies étrangères, les prix des produits importés sont d’autant augmentés et les prix des produits exportés, d’autant diminués. Ce problème n’existe pas pour une économie fermée aux échanges avec l’extérieur.
Un état n’a pas ce pouvoir de détruire de monnaie. La seule qu’il ait en son pouvoir de détruire, ce sont ses dettes.
En ce qui concerne notre situation actuelle, nous n’avons pas la possibilité de fuir dans les forêts, comme nos ancêtres les gaulois lors de la chute de Rome.