Les observations sur les destructions des deux tours posent de nombreux problèmes aussi bien à la version nanothermite qu’à la version mini-nuke. Cela tombe bien, il se trouve que le séisme de cette rentrée est la confirmation par des scientifiques indépendants , italiens et suédois, que l’E-cat, réacteur à fusion froide de l’italien Andrea Rossi, est un engin capable de performances (énergie et puissance libérées par unité de masse de materiau actif dans le réacteur ) similaires à celles du nucléaire et produisant d’ailleurs des transmutations mais en l’absence totale de la radioactivité qui accompagne normalement les réactions nucléaires : Totalement impossible dans le cadre de la physique nucléaire orthodoxe !
Mais c’est exactement ce dont on a besoin pour comprendre certaines des caractéristiques les plus énigmatiques de ces destructions. La physique de la fusion froide a très probablement été discréditée dans les années 90 pour être accaparée par des labos de recherche militaires aboutissant à ce que nous avons observé le 11/9 : la désintégration invraisemblablement silencieuse et discrète de dizaines de milliers de tonnes de béton et d’acier (des explosifs nucléaires ou chimiques quels qu’ils soient pour aboutir au même résultat, auraient du produire des effets observables par tous à des dizaines de kilomètres à la ronde ; Bang d’explosions surpuissants et boules de feu extrêmement lumineuses) .
Beaucoup de détails dans mes articles sur le sujet :
J’ai aussi une publication théorique prétendant rendre compte de l’essentiel des manifestations de « fusion froide » dans le Journal de Physique Nucléaire de Rossi :
J’averti que je ne prendrai la peine de répondre à aucune question si la réponse se trouve déjà dans les articles précédents. Bonne lecture.