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ddacoudre ddacoudre 28 février 2015 19:56

bonjour erdal

un long plaidoyer non dénué de réalité, j’ai retenu cela..Face à ce capitalisme sauvage et instable il n’y a pas plusieurs solutions : il faut le renverser et construire l’avenir communiste, encore inconnu, sous la direction du prolétariat ! Socialisme ou barbarie ! Abolition du salariat !

l’abolition du salariat, je suis pour, mais cela n’aboutit pas forcément au communisme. rien a redire sur l’indécence du capitalisme. mais pas grand monde se demande pourquoi il est toujours présent, et même quand 40% sont contre, 52% veulent le réformer au bout du compte il ne fait que progresser. tout ce que nous développons dans l’existence repose sur des caractéristiques innés avec lesquelles naissent nos enfants pour disposer des moyens de survivre et quand nous les regardons vivre c’est pas naturellement qu’ils sont préteurs ou qu’ils ne désirent pas toujours ce que veut l’autre. notre éducation consiste de leur demander de tenir compte de l’autre avec lequel il va partager son existence, ce qui le conduira à maitriser ses désirs et frustrations. alors face à cela il recherchera tous les paradigmes qui lui permettrons de se valoriser par ce qu’ils trouverons de disponible dans son environnement. Seule une imprégnation sociale forte maintient nos comportements dominateurs sous contrôle. or l’aptitude à produire et à retirer une richesse sans partage de ses productions corresponds a ce comportement enfantin de tout s’approprier sans partage si ’il n’y sont pas invité par un tabou ou un totem.
depuis la Grèce antique des castes se sont stratifiés les guerriers dominateurs et les autres serviteurs dociles qui pouvait être affranchi (comme nous le salariés peut devenir entrepreneur). chacun d’eux pensaient qu’il en était ainsi de manière inné. ce en quoi il n’avaient pas tout à fait tort, dans la structuration, dominant /dominé, maitre/serviteur. ce rapport de lien sociaux économiques ne c’est que partiellement modifié qu’avec l’apport du monothéisme qui m’était l’un et l’autre sous la coupe du dieu, mais dieu donner a certain le pouvoir de désigner celui qui se chargerait de guider les autres. nous avons vu le statut de maitre se perpétuer mais avec l’obligation de charité et de partage voire de bon traitement par l’amour de son prochain nécessaire. cela a fonctionné jusqu’à l’époque des lumière sous la forme de dominant/ dominé, ou le dominant est une organisation systémique Dieu, maitre c’est dieu et les serviteurs sont les désignés qui disposent du devoir de diriger les autres cela nous a donné l’absolutisme et le servage. donc maitre/servage, la période de l’esclavagisme noir est atypique car il est un moyen d’échange monétaire. La révolution bouscule l’ordre établi, les désignés réclament leurs émancipations, ils formeront la bourgeoisie, car ils ne sont pas analphabète ni illettrés, les autres le peuple devra attendre 1804 pour soit reconnu le salariat des prolétaires contre un paiement d’un revenu. c’est le nouveau rapport dominant/dominé, les maitres/ serviteurs volontaires, ou entreprises/ salariés ou patrons/ ouvriers. donc depuis 1804 nous en sommes toujours là avec tous les événements que tu as rappelé. alors je te propose d’inscrire le communisme dans ce rapport dominant /dominé. Mais le plus important n’est pas là, quand l’on repasse au fil des siècle la structure qui a présidé au développement du capitalisme, il ne peut échapper à personne que les dominants sous une forme ou une autre se sont manifestés et ont été suivit par les autres avec en plus une organisation démocratique qui les plébiscite au travers d’un scrutin. durant tout ce temps ce sont mises en place des valeur monétaire et des livres de comptes, l’un et l’autre avaient pour raison de déterminer ce qui revenait au dominant. aujourd’hui cela n’a pas changé,le moyen de compter la richesse c’est le plan comptable il n’est fait que pour favoriser le dominant et non tenir compte de la richesse d’un pays avec laquelle les gens doivent vivre. aujourd’hui 28 millions d’actifs font vivre 68 millions de citoyensdonc oui à l’abolition du salaria, mais si le travail produit on le compte avec un plan comptable fait pour former du capiatl nous ne changerons pas grand chose. c’est en cela que je dis qu’il faut trouver d’autre source de revenu que le seul travail et revoir nos relations grégaires sous l’égide de l’homme culturel que nous pouvons être, ainsi s’il est normal que tout individu qui entrprend conserve le fruit de son travail, quand il a besoin d’aide pour atteindre ses buts, alors c’est lui qui est demandeur et il n’ a pas a se dégager de cette aide avec un salaire arbitraire sous prétexte qu’il est dans la position du maitre, mais prendre l’aide de l’autre comme un apport de capital prolétaire qui s’ajoute au sien et non qui vient en déduction comme une charge.
maintenant s’il ne veut pas de cela, alors il reste seul.
http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Le-capitalometre-8441227.html
http://ddacoudre.over-blog.com/pages/Remunerer-les-hommes-pour-apprendre-7538257.html
cordialement.

cordialement.


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